Projet contre la violence à l’école :
CHAHUT
Un jeu contre le harcèlement scolaire
Les sources de conflits en milieu scolaire
Les attentats du 11 septembre : 6000 blessés, 3000 morts !
Les attentats de 2016 à Bruxelles : 300 blessés, 30 morts !
On en les arrêtera jamais parce que comme disait Winston Churchill…
« un fanatique est quelqu’un qui ne changera jamais d’avis et qui ne changera non plus de sujet de discussion »
Sauf si on éduque les enfants et les adolescents, grâce à ce projet contre le harcèlement à l’école, pour qu’ils comprennent l’imbécilité de ce nouveau ravage mondial.
Aujourd’hui en Belgique, 1 enfant sur 5 est victime
d’agressions physiques, de maltraitance verbale, d’exclusion sociale, de harcèlement…
La violence à l’école : que faire ?
CHAHUT est un jeu qui lutte contre le harcèlement scolaire et ouvre à la fin du jeu le débat sur le terrorisme mondial. Ce projet contre le harcèlement à l’école permet aux animateurs d’agir positivement sur le climat des écoles primaires francophones, parce qu’avec ce jeu, il est possible de parler du harcèlement à l’école.
50 écoles ont déjà participé ! Un succès total où l’enfant comprend sa dualité de victime et de bourreau et prend dès le lundi d’après sa place de gardien de la paix à la cour de récré.
Il y a 2743 écoles primaires dans le Région wallonne !
La genèse du projet contre la violence à l’école
La première version du jeu « CHAHUT » a été subventionnée en 2005 par le Programme Daphné de la Commission européenne et distribuée dans les écoles primaires à travers l’Europe grâce au Département International de la Croix-Rouge de Belgique afin d’enclencher le pas vers la prévention au harcèlement scolaire.
En 2006, plus de subventions !
L’association internationale « Le Mouvement Clanic », plateforme qui lutte contre le harcèlement à l’école en Belgique, a relancé, à ses frais, le jeu CHAHUT en 2017.
Si le jeu CHAHUT avait continué sa campagne de pacification dès 2007, tous les jeunes actuels de Belgique auraient été éduqués à la problématique du terrorisme et parmi eux, tous les jeunes fanatiques d’aujourd’hui.
Solution contre la violence à l’école
12 ans de perdu qu’on peut, nous les citoyens, rattrapés !
Et comme dit l’autre : « sans idéologie, discours ou baratin ».